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Le premier cimetière de Mulhouse se situait sur la place de la Réunion à proximité immédiate de l'église St-Etienne. Après le passage à la Réforme en 1533, les inhumations se firent près de l'église Sainte-Marie. En 1803, les thèses hygiéniste et l'augmentation de la population imposèrent un nouveau cimetière extramuros. Le cimetière catholique et protestant s'implanta donc à l'emplacement de l'actuel parc Salvator. Il sera agrandi par un cimetière israélite en 1831. Suite au décret de 1804 imposant que les morts soient inhumés à plus de 100 m des habitations et à l'urbanisation galopante, un nouvel emplacement dut être trouvé en 1869. Le nouveau cimetière, situé sur des terrains communaux au nord-est de la ville, fut inauguré en 1872. Il a été conçu par l'architecte municipal Jean-Baptiste Schacre. Il comporte trois secteurs pour les trois confessions, catholique, protestant et israélite, disposant chacun d'une entrée avec un portail monumental. Chaque entrée donne sur une cour d'honneur. Chaque confession dispose, au niveau de son entrée, d'une chapelle. La chapelle catholique est placée dans l'axe de l'entrée, celles des confessions protestante et israélite sont situées sur les côtés. La chapelle catholique a été transférée de l'ancien cimetière et agrandie par une nef rectangulaire. Le chœur polygonal est couvert d'une coupole métallique.
La chapelle catholique
Stèles dans le cimetière protestant
Monument Jean Christian Haensler
La tombe du soldat Haensler est constituée d'un rocher à la base duquel est placé un casque Adrien entouré d'une large couronne de laurier et de chêne. Le laurier est synonyme de gloire et de vertu. Le chêne est l'attribut de la force et de la vaillance. La tombe évoque la bravoure et la gloire du héros mort au combat.
Monument Mieg
Ce monument présente la forme d'un temple antique. Deux hautes colonnes en marbre à chapiteau corinthien en bronze soutiennent un fronton triangulaire. L'utilisation de ces matériaux nobles et leurs assemblages dans des nuances de couleurs variées affirment la richesse et le prestige de cette famille d'industriel. Le monument antique adopté par un nombre de monuments funéraires témoigne de l'intérêt que portait l'élite intellectuelle du XIXe siècle à la culture gréco-romaine.
Monument Heilmann
Le monument est constitué de deux grandes dalles horizontales symbolisant l'union du couple au-delà de la mort. J. Heilmann était le fils d'un fabricant d'Indiennes. Il conçut de nombreuses machines textiles dont, en 1934, la peigneuse mécanique. À noter la présence de deux stèles miniatures en l'honneur d'enfants décédés en bas âge.
Monument Nicolas Koechlin
Le nom du défunt est inscrit dans une couronne de rameaux de chêne disposé en partie haute d'une grande dalle. Nicolas Koechlin débuta sa carrière chez DMC puis prit la tête de plusieurs entreprises textiles. Il fit construire en 1839 la 2e ligne de chemin de fer de France reliant Mulhouse à Thann. En 1841, il réalisa celle reliant Mulhouse à Strasbourg.
Monument Lanhoffer-Laederich
Le monument de cette famille d'industriel est constitué d'un sarcophage dont la partie supérieure est encadrée par deux colonnes soutenant un fronton de style néo-classique. L'enclos est délimité à l'arrière par une abside demi-circulaire. Le sarcophage trouve à la fin du XVIIIe et durant le XIXe siècle une nouvelle vie dans le courant néo-classique.
Monument Persohn
Sur ce monument figurent plusieurs éléments symboliques. Le lierre largement présent sur la stèle symbolise la foi chrétienne que le défunt a fait fructifier durant sa vie. L'urne à couvercle, largement utilisé sur les monuments de la fin du XIXe siècle, fait référence à l'urne cinéraire de la période antique. Les deux mains entrelacées évoquent la foi jurée et l'unité d'un couple au-delà de la mort.
Monument Wagner
Deux stèles disposées côte à côte sur un même socle symbolisent l'union des deux personnes inhumées ici. Les stèles imitent une fenêtre géminée à arcature trilobée issue de la redécouverte du Moyen-âge durant la deuxième moitié du XIXe siècle. L'enclos est entouré d'une balustrade en fer forgé ornée de pavots symbole du sommeil et de l'oubli. Le pavot était consacré au dieu Hypnos présidant au sommeil.
Monument Zipelius
G. Zipelius fut un des plus réputés artiste, peintre et dessinateur industriel de Mulhouse durant le XIXe siècle. Après avoir fondé en 1850 un atelier, il réalisa de nombreux papiers peints panoramiques pour la fabrique Zuber de Rixheim. Sur la grande stèle de granite gris-noir poli se détache une croix dont le contour est laissé brut. C'est un contraste couramment utilisé dans l'art funéraire de la fin du XIXe siècle.
Monument Schmerber
Ce monument est un mélange entre un temple antique et une porte monumentale. Le fronton triangulaire portant le nom de la famille est soutenu par deux pilastres cannelés. La stèle est composée d'une série de plaques carrées imitant les columbariums antiques. La porte symbolise le passage du monde des vivants à celui des morts. Laissée entrouverte, elle évoque l'espoir d'un contact entre les deux mondes.
Monument Blech
Les deux stèles disposées côte à côte sont jumelles jusque dans la disposition et la graphie des inscriptions. De même, l'invocation dédiée à la mémoire des deux défunts témoigne de l'union des deux époux dans le monde des vivants et qui perdure dans celui des morts. Comme pour le monument Wagner l'enclos en fer forgé est orné de fleurs de pavots, évoque le sommeil de la mort.
Chapelle Hartmann
Cette famille de manufacturiers du textile a fait ériger un mausolée en forme de temple gréco-romain. Quatre colonnes doriques soutiennent un entablement portant le nom de la famille et un fronton triangulaire. Celui-ci est surmonté d'une antéfixe sommitale et d'acrotères latéraux. L'antéfixe est composée d'un papillon traduisant une croyance populaire voulant que l'âme quitte le corps sous la forme d'un papillon dont les métamorphoses symbolisent la résurrection. La stèle à décor gothique contraste avec le style antique du mausolée. L'accès à la chapelle est fermé par une grille ornée de pavots et de raisins, symbole du sang du Christ.
Monument Haeffely
Henri Haeffely dirigea avec son frère puis seul, la manufacture textile crée par son grand-père dans l'enceinte du château de Pfastatt. Il fut le maire de cette commune à deux reprises. Son monument est une stèle cubique dont les quatre faces sont couronnées d'un fronton triangulaire. Chaque angle est orné d'un flambeau tourné vers le bas évoquant la fin des plaisirs de la vie. Une urne à couvercle ornée d'une draperie symbolisant le linceul du Christ surmonte le monument. Ce type de monument est courant dans les cimetières du XIXe siècle.
Enclos Weiss
Cet enclos renferme des stèles à l'abondant décor végétal et floral finement sculpté donnant une impression de richesse. Se trouvent à cet endroit les sépultures d'Armand Weiss, juriste, de son père Mathias, manufacturier textile, de sa mère Rose-Emilie et de Hartmann Schlumberger, manufacturier et cofondateur en 1809 de la loge maçonnique de la "Parfaite Harmonie".
Monument Émile Hubner
Ce monument se terminant par un dôme drapé dans un linceul est l'œuvre du sculpteur colmarien Bartholdi (l'auteur de la statue de la Liberté). La stèle porte en médaillon l'effigie en bronze d'Émile Hubner. Après des débuts dans des filatures de Mulhouse, il fonda en 1848 sa propre filature de laine. Il est l'inventeur de plusieurs machines dont, en 1851, une peigneuse circulaire qui révolutionna la filature de la laine.
Monument Schoenhaupt
La stèle en grès porte un grand médaillon ovale en bronze à bordure perlée. Au sein de ce médaillon se trouve une plaque émaillée réalisée par Louis Schoenhaupt pour sa femme. Le médaillon est représenté accroché à un clou par un large nœud à rubans soigneusement noué symbolisant l'épanouissement, la perfection et l'immortalité. Louis Schoenhaupt, également inhumé dans cette sépulture, était dessinateur dans plusieurs manufactures textiles, illustrateur et caricaturiste.
Monument Desaulles
Les trois stèles géminées accolées imitent les hautes fenêtres des cathédrales gothiques du Moyen-âge. Elles symbolisent la lumière et le paradis. Le haut des stèles est constitué d'arcatures trilobées supportées par de fines colonnettes. Le sommet crénelé est orné avec des rinceaux alternant avec de petites croix gravées. Au bas des stèles est apposée l'inscription "l'amour ne périt jamais".
Monument Reber
La colonne brisée est souvent employée pour évoquer la vie brusquement interrompue notamment pour les personnes jeunes comme ici. La colonne brisée est fréquente dans l'art funéraire du XIXe siècle. La famille Reber fut engagée dès le XVIIIe siècle dans l'industrie textile de Mulhouse. Henri Reber, enterré à Paris, fut un musicien fort apprécié au cours du XIXe siècle et comptait parmi ses amis Berlioz, Liszt ou Ingres.
Chapelle Dollfus
La chapelle présente un style épuré avec une porte particulièrement importante. Les angles de la chapelle portent des flambeaux inversés invoquant la fin de la vie. La porte invoque la séparation et le passage des vivants vers le monde des morts. À l'intérieur sont placées les stèles, dont celle de Jean Dollfus. Il dirigea seul la société DMC à partir de 1850 en multipliant les innovations. Il est à l'origine de la cité ouvrière de Mulhouse avec ses 1243 maisons unifamiliales en accession à la propriété, fait unique à l'époque.
Monument Schmidt-Desaulles
Ce monument est constitué d'une grande plaque funéraire encadrée par quatre hautes colonnes cannelées. Elles supportent un entablement rectangulaire surmonté d'une urne à couvercle recouverte d'un voile. Les colonnes dressées vers le ciel sont un rappel de la résurrection des défunts lors du jugement dernier.
Monument Brandt
En partie inférieure se trouve une porte dont la forme trapézoïdale évoque les temples égyptiens. L'Égypte antique était très en vogue en Europe lors du début du XIXe siècle. Au-dessus un large entablement est surmonté d'un rocher supportant une croix. Contre cette croix est adossée une ancre symbolisant la fermeté, la fidélité et l'espérance. L'ancre est retenue par une corde représentant le lien qui unit le ciel et la terre.
Monument Beugniot
Trois monuments composent cet enclos ceint par une grille en fer forgé surmontée de pavots symbolisant le sommeil de la mort. Le monument central supporte à l'aide de colonnes le buste du défunt. Sur la droite, la stèle est de type néo-classique avec une couronne de roses. Sur la gauche, la stèle est de type néo-gothique. Édouard Beugniot débuta comme apprenti mécanicien dans l'entreprise Koechlin. Il devint chef du département des locomotives de la SACM avant de la codiriger à partir de 1872.
Monument Doll
Fondateur d'une maison de commerce, E. Doll fut conseiller municipal de Mulhouse de 1886 à 1896. Il fut également un des piliers de la Société industrielle de Mulhouse à l'époque. Son monument funéraire réalisé en marbre rose est typique du mouvement néo-gothique. Il s'agit d'une stèle à arcature trilobée surmontée d'un fronton triangulaire. Les côtés sont constitués de fines colonnettes doubles dont le sommet est orné de motifs végétaux.
Chapelle Franck
Cette chapelle est un des rares exemples d'Alsace de style renaissance. Il s'agit d'un édifice monumental avec un toit en pierre. La porte en plein cintre est en fer et est ornée de pilastres. Sur les montants est représenté un sablier symbolisant le temps qui passe.
Monument Auguste Lustig
L'obélisque en granite noir formant le mouvement porte un médaillon avec le profil du défunt. L'obélisque symbolise l'immortalité et la renommée. Il était très apprécié dans les milieux protestants. Auguste Lustig composa ses premiers poèmes en français et en allemand lors de son service militaire. Après l'annexion de l'Alsace-Moselle par l'Allemagne, il continue d'écrire en alsacien par nostalgie. Nous lui devons 300 poèmes et 26 pièces de théâtre qui connurent à l'époque un important succès.
Monument Simonet
Deux colonnes cannelées à chapiteau ionique constituent l'ossature de ce monument en forme de temple grec. L'entablement porte en grandes lettres encadrées d'étoile à 6 branches le nom de la famille. Au centre du fronton se trouve une couronne d'immortelles flanquée de deux palmes entrecroisées.
Chapelle Schlumberger-Hofer
La chapelle est formée d'une longue nef rectangulaire ouverte par trois grandes arcades en plein cintre soutenu par des colonnes à chapiteau corinthien. Elles sont fermées par de fines grilles en fer forgé. Dans la chapelle se trouve la sépulture de J-A. Schlumberger qui dirigea l'entreprise textile Schlumberger fils et cie. À sa mort, il employait 2500 ouvriers ce qui en faisait l'un des plus puissants industriels de Mulhouse.
Monument Voegelin
Ce type de stèle en marbre blanc au sommet cintrée est présent à de nombreux exemplaires dans le cimetière. Il s'agit ici du monument d'une famille de sculpteurs qui réalisa de nombreux monuments de ce lieu. Les décors et le jeu sur les formes et les motifs utilisés démontrent le grand savoir-faire du sculpteur.
Monument Hirlemann
Le monument présente la jeune défunte tenant un bouquet de lys, symbole de pureté, à la main. Elle a gravi quelques marches pour aller inscrire sur le haut de la stèle "Au revoir". Le décor est complété avec un rosier grimpant.
Monument Urban-Latscha
La représentation centrale de la tombe est un grand ange tenant son visage dans ses mains. Les deux ailes symétriques accentuent la monumentalité de l'œuvre qui montre une grande tristesse. Bien que les représentations d'anges soient fréquentes dans l'art funéraire du XIXe et du début XXe siècle, la représentation faite ici constitue une originalité.
Monument Tondre
D'un gros bloc de marbre blanc se détache une grande croix entourée de fleurs au pied de laquelle est assise une femme en pleurs. Ces cheveux sont dénoués en signe de deuil et sa posture évoque Marie-Madeleine se repentant.
Monument Waechter
René Waechter, résistant, créa en 1944 le quotidien l'Alsace. Adjoint au maire de Mulhouse en 1953, il participe à la création du Mulhouse Olympic Natation (le MON) en 1962. Son monument funéraire est en forme de temple grec en granite gris. Le fronton est soutenu par trois colonnes. Une grande statue féminine en marbre blanc adosse sa tête au sommet de la colonne centrale. Le contraste des couleurs confère au personnage une grande prestance.
Monument Colombina
Une femme ailée surgissant du bloc de marbre prend son envol le bras droit levé et une rose à la main. Une jeune femme, tête voilée et vêtue d'une tunique antique, est agenouillée à ses pieds. La famille italienne à l'origine de ce monument a ainsi mis en scène le thème de l'ange protecteur guidant le défunt vers le ciel.
Monument Haberer
Le monument funéraire de ce sous-lieutenant, tué au début de la 1re Guerre mondiale, représente un homme nu couché sur un lit drapé d'un linceul. Sur cet homme, représenté en héros antique, se penche une femme voilée. Elle représente la mère et de manière symbolique la France qui veille le héros mort.
Monument Scherrer
L'utilisation de la mosaïque est rare dans l'art funéraire. Le panneau rectangulaire réalisé sur cette sépulture montre un jeune enfant de dos, les mains tendues vers le Christ en croix. Celui-ci est juste suggéré avec la base de la croix et les deux pieds cloués. La croix est entourée d'une aura lumineuse contrastant sur un ciel bleu.
Monument Fries
Le monument en pierre grise en forme de temple antique enchâsse un bas-relief en marbre blanc. Celui-ci représente la déploration du Christ. Celui-ci, après avoir été descendu de la croix, est étendu sur un lit de fleurs avec la Vierge penché au-dessus de lui. Sur le fronton, une couronne de laurier forme un oméga, lettre grecque symbolisant la fin de toute chose.
Monument Maggioni
Le bas-relief montre un personnage en prière dans une chapelle où une lampe symbolise la présence du Christ. La chapelle est représentée par un encadrement en grès rose à trois colonnes donnant une impression de profondeur. Le côté gauche et le haut sont couverts par les branches d'un saule pleureur sur lesquelles est perchée une colombe symbole d'amour et de fidélité.
Monument Lucien Cabossel
Ce monument en marbre blanc a été érigé par les parents de Lucien Cabossel tué au front le 31 décembre 1914 à l'âge de 21 ans. Le soldat dont le bas du corps est drapé dans un linceul est pris en charge par un ange qui l'enveloppe de ses ailes et lui montre le chemin menant au ciel.
Monument Geiger
Une grande colonne lisse en granite noir est placée sur un socle cubique. La colonne est tronquée symbolisant ainsi la vie brutalement interrompue. La clôture en fer forgé de l'enclos présente une arcade permettant à des plantes grimpantes d'envelopper la colonne d'un écrin verdoyant.
Monument Weber
Un grand ange vêtu d'un manteau et d'une tunique frappe avec un maillet une grande cloche. Cette scène évoque le jour du jugement dernier ou l'ange de la résurrection convie les défunts à se réveiller pour se soumettre au jugement de Dieu.
Monument Muller-Sauter
La tombe est protégée par un grand ange aux ailes déployées. De nombreux anges, sous différentes formes, se rencontrent dans les nécropoles urbaines de la fin du XIXe et du début du XXe siècle. En Alsace, elles sont caractéristiques de la période de l'Annexion au Reich allemand.
Monument Gaston Meyer
Mort à 20 ans, ce jeune homme a eu droit à un monument en forme de colonne brisée agrémenté d'une guirlande de roses finement sculptée et d'une couronne de lierre. En partie basse du monument est inscrit l'injonction RIP (requiescat in pace, repose en paix) entre deux éléments floraux. Sur la dalle placée au pied du monument figure une palme symbolisant la victoire et la renommée, mais également la résurrection du Christ.
Monument Haren
Une jeune fille agenouillée sur la dalle funéraire porte en son tablier du myosotis, symbole de la mémoire et du souvenir, avec lesquelles elle inscrit le mot "maman". Derrière la dalle est disposé un obélisque qui symbolise la mort en pleine force de l'âge.
Monument Kienzler
La famille Kienzler fabriquait des cheminées d'intérieur. Elle réalisa donc un monument funéraire en forme de cheminée. Le dégradé de couleurs des briques allant du rouge au brun foncé alternant avec les joints blancs contribue à l'esthétique du monument qui alterne également les lignes verticales et horizontales.
La tombe d'un admirateur anonyme de l'Egypte des pharaons
Le monument Anolo Salvetti
Le monument Butze
Le monument Boehler
Le monument Berbette
Le monument Colombe
Le monument Coudray
Le monument Diertlin
Le monument de Frédéric Muller
Monument du Souvenir
La religion israélite interdisant le déplacement des sépultures, le transfert du cimetière Salvator à l'emplacement actuel donna lieu à d'importantes négociations. Les tombes furent finalement transférées en 1873 et regroupées à l'arrière du carré israélite. L'endroit fut par la suite totalement saccagé par les nazis. Les vestiges furent rassemblés, par la communauté israélite qui gère le cimetière, en 1974 pour constituer un monument en forme de pyramide.
Le monument du souvenir
Le cimetière israélite
Le cimetière israélite
Le cimetière israélite
Le cimetière israélite
Le cimetière israélite
Le cimetière israélite
Le cimetière israélite
Le cimetière israélite
Le cimetière israélite
Le cimetière israélite
Le monument Kirchacker
Le monument Koechlin
Le monument Boehm
Le monument Favre
Le monument Macchi-Frasoldi
Le monument Roth
Le monument Pontes
Le monument Tsatourian
Le monument Kleinhans
Monument Ehrhardt
Monument Erhart
Monument Boehler
Monument Albert Koechlin
Monument Auguste Wicky
Maire de Mulhouse
Le jardin du souvenir
Monument Babayan
Monument Bach
Monument Bourchert
Le monument Lamey
Monument Brindel
Monument Chambaud
Monument Converth
Monument Di Filippo
Monument Dubs
Monument d'Eugene Koechlin
Monument Fries Morgen
Monument de Jules Dollfus
Monument Grumler Schnepp
Monument Huc
Monument Huguenin
Monument de Joseph Kienzler
Monument Kauffmann
Monument Klinger
Monument Kastner
Monument Kiss
Monument Knibuhler
Monument Kueny Weiss
Monument Lorentz
Monument Mansbendel
Monument de Mathilde Wenning
Monument Moerlen
Le monument de Louisette Roth
Monument Kroffig et Bach
Monument Lack
Le monument Moerlen
Monument Rauch
Monument Schloesser
Monument de Joséphine Ludwig
Monument Pflimlin
Monument Schlumberger Jenny
Monument Tognazzo
Monument Tresch
Monument Strasburg
Monument Truschel
Monument de Valentine Schwartz
Monument Visentin
Monument Weissert
Monument de Véronique Filozof
Monument Zundel
Monument Wittler
Monument Zeisser
Ces photographies ont été réalisées en novembre 2015 et en novembre 2023.
Y ACCÉDER:
Le cimetière central de Mulhouse est situé rue Lefebvre.
Les indications pour accéder à ce lieu insolite sont données sans garantie. Elles correspondent au chemin emprunté lors de la réalisation des photographies. Elles peuvent ne plus être d'actualité. L'accés au lieu se fait sous votre seule responsabilité.
Si vous constatez des modifications ou des erreurs, n'hésitez pas à m'en faire part.
Cette page a été mise en ligne le 24 janvier 2016
Cette page a été mise à jour le 02 décembre 2023