2e partie
Dans cette deuxième partie, je vous propose une visite du flanc sud-est du Hartmannswillerkopf (HWK). Notre point de départ est le rocher du Hirtzenstein.
Le rocher du Hirtzenstein est un dyke de quartzite qui surgit de la faille vosgienne. La dureté de la roche lui a permis de mieux résister à l'érosion que le grès environnant. En 1265, Berthold de Steinbrunn y construisit un château. Durant les révoltes paysannes du début du XVIe siècle, il était défendu par Guillaume Rodolphe de Wattwiller. Fortement endommagé durant la guerre de Trente Ans, il ne survécut pas à la Révolution française.
Le rocher du Hirtzenstein
Le Hirtzenstein fut occupé par les Allemands à partir du 19 janvier 1915 ou le 1er Rheinische Infanterie Regiment 25 l'arrache aux hommes du 28e Bataillon de Chasseurs alpins (BCA). Il sera repris par les Français le 26 mars 1915. Il repassera sous contrôle allemand lors de leur grande offensive du 25 avril 1915. Le front du HWK étant relativement calme durant l'été 1915, les Allemands vont en profiter pour fortifier le piton rocheux. Dans les journaux de marche des régiments français, une journée calme est une journée sans mort. Ils y creuseront une grande galerie munie de chambres latérales. Cette galerie dont l'entrée est située à l'est débouche au sommet par un puits vertical. Cette galerie est murée afin de préserver une colonie de chauves-souris.
Un des abris du Hirtzenstein
Une des entrées de la grande galerie
Le Hirtzenstein sera repris par le 27e et le 28e BCA au cours de l'offensive française du 21 décembre 1915. Ils s'y maintiendront jusqu'au 8 janvier 1916, date de la dernière grande offensive au HWK. Le rocher restera jusqu'à l'armistice entre les mains des Allemands.
Une des positions du sommet
L'entrée principale de la galerie
Du Hirtzenstein nous empruntons le sentier (balisage rond jaune) qui part entre les bâtiments de la maison familiale pour monter vers le monument du général Serret. À gauche de ce sentier, nous rencontrons le monument commémoratif dédié par la ville de Krefeld à ses fils tombés au sein du 3e Land Infanterie Regiment (LIR) 56.
Le monument de la ville de Krefeld
La montée traverse le chemin des Dames (prendre vers le monument Serret) où les traces des tranchées françaises disparaissent petit à petit sous la végétation. Nous voici arrivés à la Roche Chambaud, faussement dénommés Roche Amic par le balisage du chemin. La vraie Roche Amic est située en face de l'autre côté du ruisseau. Ce rocher était traversé par deux galeries dont seules les entrées sont encore visibles. Cet endroit est nommé d'après le capitaine Amic, tué durant l'offensive du 21 décembre 1915. Il était le commandant de la 15e compagnie du 15e BCA. Le col situé sur la route des crêtes après le HWK lui est également dédié.
La Roche Chambaud
Entrée d'un abri souterrain de la Roche Chambaud
Après la roche Chambaud, le sentier traverse le boyau "Halte-là" puis suit la tranchée Chambaud pour déboucher sur l'impasse des Alpins où nous prenons à droite pour arriver au monument du général Serret. C'est à cet endroit que le général revenant d'une inspection fut touché par un éclat d'obus le 29 décembre 1915. Après son amputation d'une jambe, il décèdera à l'hôpital de Moosch le 2 janvier 1916 à l'âge de 48 ans. Il est inhumé au cimetière militaire de Moosch.
Le monument Serret
Au nord du monument Serret débute la tranchée française dite "Tranchée électrique" qui monte vers le sommet. C'est la première ligne française. Cette tranchée était occupée à partir du 12 aout 1915 par le 213e RI qui y constate des phénomènes d'électrisations. Le 15, le clairon Gilbert Fleurier y meurt, électrocuté, en tentant d'enlever un câble jeté par les Allemands sur les défenses françaises (d'après Gustave Duvernoy du 213e RI, 19e et 17e Cie "Notes et correspondance 1914-1916"). Les phénomènes d'électrisations durent jusqu'à la mi-septembre 1915. Le Journal de Marche (JMO) de la 115e Brigade évoque, le 15 octobre 1915, une tranchée électrisée qui deviendra la tranchée électrique. Celle-ci apparait visiblement pour la première fois sur une carte du 15e BCP le 21 décembre 1915.
Le début de la tranchée électrique
La tranchée électrique
De là, nous redescendons sur l'impasse des Alpins pour suivre vers le nord le Bergpfad (balisage rectangle rouge-blanc-rouge) qui mène à la Feste Bamberg. Cet imposant fortin est presque entièrement effondré. Dans le prolongement de ce sentier se trouve la Hexenkuche. Cette cuisine des sorcières est un abri souterrain creusé dans la roche. Cet endroit, situé à mi-distance entre l'Unterer et le Mitlere Rehfelsen, était très exposé aux bombardements.
La Feste Bamberg
Le chemin de ronde de la Feste Bamberg
L'entrée de la Feste Bamberg
La partie supérieure de la Feste Bamberg
Le fortin de la Hexenkuche
La 2e entrée de la Hexenkuche
Dans le souterrain de la Hexenkuche
Une des salles souterraines de la Hexenkuche
Nous rebroussons chemin pour descendre au niveau de la Feste Bamberg vers l'Untere Rehfelsen (balisage triangle jaune). Cette grande forteresse est constituée de trois étages de galeries avec de nombreux postes de mitrailleuses. Lors de l'offensive française du 26 mars 1915, l'Untere Rehfelsen est une des rares positions allemandes à ne pas succomber. Deux nouvelles attaques françaises, les 6 et 14 avril 1915, échouent également devant cette forteresse. Lors de l'assaut général du 21 décembre 1915, qui permit aux Français de passer la crête et de redescendre jusqu'au chemin des 700 mètres, les hommes du 23e régiment d'infanterie (RI) et du 15e bataillon de chasseurs à pied (BCP) échouent à prendre l'Untere Rehfelsen. Ce n'est que le 28 décembre 1915 que le 12e BCA, après un pilonnage d'artillerie de deux heures, arrive à se rendre maitre d'une partie de la forteresse. Une trentaine d'hommes du Reserve Infanterie Regiment (RIR) 74 s'est cependant retranché et résistent aux troupes françaises. Une contre-attaque allemande effectuée le 29 décembre 1915 échoue à libérer les hommes assiégés. Ils seront délivrés le 30 décembre 1915 lorsque le Garde Jäger Bataillon reprend l'ensemble de l'Untere Rehfelsen.
Le Dromedar Stollen situé au-dessus de l'Unterer Rehfelsen
L'unterer Rehfelsen vue de la Feste Bamberg
Poste de mitrailleuse en haut de l'Unterer Rehfelsen
Une des entrées de l'Unterer Rehfelsen
Galerie de l'Unterer Rehfelsen
Une des salles souterraines de l'Unterer Rehfelsen
Une autre des salles de l'Unterer Rehfelsen
La sortie arrière de l'étage supérieur
Le fortin de l'étage intermédiaire de l'Unterer Rehfelsen
La partie arrière de l'étage intermédiaire
La partie inférieure de l'Unterer Rehfelsen
Les galeries inférieures de l'Unterer Rehfelsen
La suite de la galerie inférieure
Tranchée dans la partie inférieure de l'Unterer Rehfelsen
Abri inférieur de l'Unterer Rehfelsen
L'Unterer Rehfelsen vue depuis le bas
De l'Untere Rehfelsen nous suivons la tranchée qui descend le flanc du HWK. C'est la tranchée de la Suisse Lippique. C'est une grande tranchée maçonnée identique à celle de la Himmelsleiter. À certains endroits, sa profondeur atteint les 2,50 m. Dans la descente, nous rencontrons de nombreux abris souterrains et des positions de minenwerfer. La plupart sont situés sur le côté gauche lors de la descente donc à l'arrière de la tranchée.
Le haut de la tranchée de la Suisse Lippique
La tranchée de la Suisse Lippique
Entrée d'un abri dans la Suisse Lippique
La galerie souterraine de l'abri precédent
Un des fortin de la Suisse Lippique
Un autre des abris de la Suisse Lippique
Un des fortins à l'avant de la Suisse Lippique
Un autre des abris de la Suisse Lippique
Parapets de tir en escaliers de la Suisse Lippique
La fin de la tranchée de la Suisse Lippique
Une des derniers abris en bas de la Suisse Lippique
Nous passons ainsi les abris U11.
L'abri U11
La
galerie vers l'abri souterrain
L'entrée de l'abri U11
Une des salles de l'abri
Puis la Feste Scheufele.
La Feste Scheufele
Nous rejoignons ensuite l'abri souterrain du Landes Jäger Regiment (LJR) 56.
Le LJR 56 stollen
Des étagères dans le souterrain ?
Une des salles de cet abri
La stèle située devant le Stollen
Un peu plus bas, nous pouvons accéder aux abris et souterrains du LIR 56 qui porte une grande inscription en l'honneur des hommes de ce régiment tués au combat.
L'entrée secondaire de l'abri du LIR56 Garde Jäger
L'entrée principale
L'entrée principale
Le tableau d'honneur
La galerie d'accès aux chambres souterraines
Une des chambres de cet abri
La tranchée de la Suisse Lippique finit par déboucher sur le Dickbuchenweg un peu sous la côte des 600 mètres. Elle débute à l'Untere Rehfelsen à 740 m d'altitude. Nous prenons à gauche vers la courbe 2 de la Voie Serpentine (cantine Zeller). De nombreux abris effondrés signalent l'emplacement du Camp Albrecht (Albrecht Läger). Au niveau du ruisseau Goldbach nous trouvons des abris de l'Ulanen Regiment (ULR) 11 muni d'une stèle proclamant "Sei mir Gegrüßt du liebe Hutte" (soit loué abri bien aimé).
Un des abris effondrés en bas de la Suisse Lippique
La stèle du Albrecht Lager
L'entrée d'un des abris du ULR11
Un autre de ces abris
Dans l'abri avec vue sur le créneau de tir de l'entrée
Un abri avec les soubassements d'un compresseur
La cuve du compresseur est restée en place
L'entrée de l'abri du compresseur
Nous nous dirigeons maintenant vers le cimetière des Uhlans. Une trentaine de tombes sont rassemblées à cet endroit. C'est un des rares cimetières existant encore au HWK. Les autres ont été transférés dans les différents cimetières militaires des alentours. Les tombes, toutes surmontées d'une stèle en pierre, entourent un monument commémoratif dédié aux tuées du 9K LIR 56 érigé en mai 1916. Le cimetière a été récemment restauré par l'armée allemande.
Vue du cimetière
Le monument commémoratif
Nous rebroussons chemin vers la tranchée de la Suisse Lippique et poursuivons sur le chemin en direction du Hirtzenstein. Juste après la tranchée, nous passons devant la fontaine du LIR 56 (à gauche).
La
fontaine du 56e
Dans la courbe apparait une stèle commémorant les morts de la brigade des Uhlans Jaunes tombés en avril 1915 (Gelben Ulanen Brigade 5/UL15).
La stèle des Uhlans Jaunes
Au prochain embranchement, nous prenons à droite pour passer devant le rocher Bieberstein nommé d'après le lieutenant-colonel Marschall von Bieberstein pour arriver au bassin de bains "Leopoldsbad".
Le Bieberstein
Le Leopoldsbad
En poursuivant le chemin, nous passons à gauche d'un monument signalant l'emplacement d'un ancien cimetière allemand. Le chemin longe ensuite les ruines de différents abris du camp Möllendorf érigé en mars 1916 par le 12 LIR 56.
Le monument du cimetière du camp Mollendorf
Un des abris du camp Mollendorf
Le grand bunker du camp Mollendorf
Le grand bunker du camp Mollendorf
Un abri au camp Mollendorf
L'intérieur de cet abri
Un abri au camp Mollendorf
Un abri au camp Mollendorf
Dans un deuxième parcours, nous partons du village de Hartmannswiller pour emprunter à côté de l'hôtel-restaurant Meyer, le chemin du stand de tir. Ce chemin mène vers le Treffpunkt où débute la Voie Serpentine. Les ruines de grands bunkers parsèment la forêt, tout au long du chemin. Nous montons tout droit pour atteindre la courbe 00. L'abri effondré situé à cet endroit était un poste d'infirmerie.
le 1er abri le long du chemin vers le Treffpunkt
l'intérieur de cet abri
Le 2e abri sur le chemin du Treffpunkt
Une étrange construction sur le chemin du Treffpunkt
L'abri effondré de la courbe 00
À la courbe 0 part un sentier abrupt qui, en passant sous le Sandgrubenkopf, mène au cimetière des Uhlans. Le Sandgrubenkopf est une butte de 570 m d'altitude reliée au HWK par un petit col. Il a servi de point de rassemblement aux troupes allemandes avant l'assaut sur le HWK. Il y avait à cet endroit un poste de secours et des dépôts de munitions. Il servit également de poste de commandement et lors de l'assaut du 22 décembre 1915, l'état-major du LIR 56 s'y établit. Des canons et des minenwerfer y étaient également stationnés. L'explosion d'un minenwerfer, le 8 janvier 1916, y fit d'ailleurs de nombreuses victimes.
La Feste Baden au Sandgrubenkopf
Vestige d'une citerne à la Feste Baden
La Feste Baden
La Feste Baden
L'abri
"Musiktempel"
Nous poursuivons notre exploration en suivant la Voie Serpentine en direction de la Feuchte Ecke (coin humide) nommée ainsi à cause de la présence d'un ruisseau. Juste après, sur le côté gauche du chemin, apparaissent de nombreux abris réalisés avec des tôles "métro". La partie frontale est réalisée en maçonnerie. Nous y trouvons également un souterrain s'enfonçant d'une trentaine de mètres dans la montagne. Ces abris ont été dénommés Musiktempel (temple de la musique), 99er Haus (maison du 99e) et Böse Buben (mauvais garçons). Ils servaient de cuisine, de casernement et d'écurie. Une inscription signale que ces abris ont été construits par le 13e et le 14e LIR 99 selon un modèle et qu'il est souhaité que ce modèle soit perpétué.
Un des abris des Bösen Buben
La galerie souterraine des Bösen Buben
Au fond de cette galerie
Un autre des abris
Les façades de Bösen Buben
L'inscription
La
suite des abris
Après l'abri portant l'inscription, nous prenons le chemin descendant sur la droite, le Schwabenweg. Ce chemin passe à côté de deux bunkers ayant servi de central téléphonique avant de déboucher dans les vignes au-dessus de Wuenheim.
Le bunker du central téléphonique qui sert de pavillon de chasse
À cet endroit, nous prenons à droite le sentier des pèlerins (balisage croix rouge). Nous passons à côté d'un étrange abri en tôle pour aboutir à la station Gaede. Ici le sentier des pèlerins (St Jacques de Compostelle) croise le cheminement du Sulzerbahn. C'était une ligne de chemin de fer à voie étroite qui reliait Soultz au Niederwald en contrebas du Hirtzenstein soit une longueur de 8900 m. De dix à quinze trains circulaient chaque jour sur cette ligne. De la station Gaede partait le téléphérique qui passant par la station Sproesser aboutissait au-dessus de la caserne au sommet du HWK. Ce téléphérique d'une longueur de 2 km avait un dénivelé de 500 m. Il se déplaçait à la vitesse d'un mètre par seconde. Il fut construit de février à mai 1915. Un deuxième téléphérique partait à proximité du central téléphonique cité précédemment (qui est aussi une des stations d'arrivée de la Sulzerbahn) pour aboutir au Klippenstollen.
L'étrange abri en tôle
Un des abris de la station Gaede
L'entrée de cet abri.
Le départ du téléphérique.
Vestige d'une des nacelles du téléphérique.
Vestige de sac de sable à la station Gaede.
Rouleau de fil de fer barbelé retrouvé à la station Gaede.
La station Gaede a été dégagée en 2010 par des volontaires de la Brigade franco-allemande.
Abri en tôle retrouvé à la station Gaede.
Le même abri au fond de sa tranchée.
Le sentier des pèlerins nous ramène ensuite vers le Treffpunk en passant à proximité de la source Ottoquelle où se trouvent cachés sur le flanc de la montagne plusieurs abris en béton. Le sentier pense ensuite à côté d'un très gros bunker et des ruines d'un petit.
La source OTTO.
Un des abris à proximité de l'Ottoquelle.
Le grand bunker du Treffpunkt
Du carrefour du Treffpunk, nous poursuivons tout droit le long du chemin des pèlerins de St-Jacques de Compostelle. Sur la gauche nous croisons un ensemble de six blockhaus (coordonnée GPS : 47 N 51' 06" et 7 E 11' 09").
Après l'oratoire se présente, sur la droite, un grand abri parfaitement remis en état. À l’arrière de celui-ci se trouve, également restauré, l'abri du 59e régiment d'artillerie allemand. Au niveau du 2e oratoire, nous prenons le chemin partant à gauche en descente. Celui-ci nous ramène vers le chemin du stand de tir emprunté au départ de ce parcours.
l'abri du 59e
régiment d'artillerie allemand
Un abri transformé en cabane de chasse
Dans un troisième parcours, nous partons de la courbe sur la route des Crêtes située juste avant le col du Silberloch (en venant de Uffholtz). Cet endroit est dénommé Bains-douches. Nous sommes dans le secteur français et partons à la découverte des camps avancés français implantés sur le flanc sud du HWK. Le chemin nous conduit vers le camp Arrault, suivi du camp Baudot puis du camp Renié.
Vestige d'un abri au camp Arrault.
Entrée d'un abri au camp Baudot.
Cette entrée mène vers une galerie souterraine.
Le fond de la galerie qui commence à s'effondrer.
Les parois en bois sont encore relativement bien conservées.
Le chemin passe ensuite devant la tombe Violet pour atteindre le point Hennequin où débute la tranchée de 1ere ligne. En suivant cette tranchée, nous arrivons au monument Serret. De là, nous empruntons la tranchée du 15e BCP puis la "tranchée électrique" dont nous avons déjà parlé précédemment. Cette tranchée grimpe vers le sommet du HWK en passant par le réduit Boussat. Après ce réduit, la tranchée débouche sur un chemin que nous suivons vers la gauche. Il nous mène en descendant vers un autre chemin que nous suivons ensuite également vers la gauche. Il nous ramène vers les Bains-Douches en passant par le Camp Duvernet (sur la droite du chemin).
La tombe Violet
Le point Hennequin
La tranchée de 1ere ligne française.
Vestige d'abris en tôle métro dans la tranchée électrique.
Un poste bétonné dans cette tranchée.
Entrée d'un abri de cette tranchée.
Un autre poste.
Réduit le long de la tranchée.
La tranchée électrique.
Le réduit Boussac
Le réduit Boussac
Vestige du camp Duvernet.
Le camp Duvernet
Il ne subsiste que peu de choses du camp Duvernet
Ces photographies ont été réalisées en avril et octobre 2010.
La suite de la visite se passe dans la troisième partie....
Y ACCÉDER:
L'accès au Hirtzenstein se fait à partir de Wattwiller en empruntant au centre du village la route du Vieil Armand.
Pour atteindre le Treffpunk, prendre à Hartmannswiller, au rond-point de l'hôtel-restaurant Meyer, le chemin du stand de tir. Poursuivez sur ce chemin jusqu'à l'orée de la forêt puis continuez à pied tout droit.
Pour le départ du parcours des camps français, partez du col du Silberloch et redescendez vers Uffholtz. Le départ est situé sur la gauche du premier virage.
Les indications pour accéder à ce lieu insolite sont donnés sans garantie. Elles correspondent au chemin emprunté lors de la réalisation des photographies. Elles peuvent ne plus être d'actualité. L'accès au lieu se fait sous votre seule responsabilité.
Si vous constatez des modifications ou des erreurs, n'hésitez pas à m'en faire part.
Cette page a été mise en ligne le 15 mai 2010
Cette page a été mise à jour le 25 février 2023